Depuis de nombreuses années, il parcourt le monde à la recherche d’histoires de trésors terrestres et sous-marins dons il est devenu un spécialiste.

Ce CHASSEUR DE TRESORS développe aujourd’hui une activité de conférencier.

Pour exemple, voici quelques sujets deconférences  :

·         Chasseur de trésor, un véritable métier.

·         Cités englouties en méditerranée et dans le monde.

·         Les îles au trésor.

Mais aussi de nombreux récits de naufrages, d’épaves au trésor, de voyage…

Notre CHASSEUR DE TRESORS fait souvent la Une des médias grâce à son métier de chasseur de trésor et d’explorateur. Mais il a aussi été grand-reporter durant plusieurs années et a parcouru à ce titre, la planète en quête d’histoires fantastiques, de récits étranges et d’artéfacts précieux. Expert en trésors, explorateur sous-marin, spécialiste de la détection électromagnétique, il a fondé une entreprise dans le Sud de la France, qui distribue du matériel de recherche pour les professionnels. Parallèlement, il poursuit sa quête des trésors perdus, cachés, enterrés, emmurés ou engloutis.

Ses conférences nous entrainent autour du monde et plus particulièrement sous les océans à la découverte d’épaves, de cités englouties et de faits étranges. Des préoccupations loin des considérations des entreprises ? Pas tant que cela, car organiser une recherche s’apparente de très près au lancement d’un produit commercial : recherche, développement, exploitation… De plus, manager une équipe dans un milieu hostile représente une véritable gageure décrite dans la conférence : chasseur de trésor, un métier ?
 

Bien entendu, d’autres conférences ont une portée plus ludique et s’adresseront plus au grand public, mais peuvent constituer d’intéressants intermèdes qui permettront par exemple de mesurer l’impact de la défaillance d’un capitaine ou d’un équipage lors d’une catastrophe maritime.





Deux types de recherches de trésors distinctes

Depuis de nombreuses années maintenant, mon activité de chasseur de trésor, se divise en deux branches distinctes. Une activité à l’étranger (Moyen Orient et surtout, ces dernières années,  Amérique du Sud) où je recherche des trésors « classiques », c’est-à-dire des fortunes cachées ou perdues de grande envergure et une activité en France où, pour me conformer à la législation, je recherche des trésors de famille.
En effet, selon l’article 716, est considéré comme trésor, une chose cachée ou perdue, sur laquelle plus personne ne peut justifier sa propriété et trouvée par l’effet du hasard. En conséquence, si l’on cherche, on ne peut plus invoquer le hasard. Par ailleurs, ces trésors sont souvent mythiques et ne reflètent, la plupart du temps que des allégories et des références à des faits réels, mais transformés par la mémoire collective.

Des trésors plus palpables

Les trésors de famille, en revanche sont des trésors bien plus palpables. On estime à plus de cent milliard d’euros les fortunes restant cachées en Europe par les particuliers au cours des derniers siècles. Ce sont les fameux bas de laine que nos ancêtres ont emmurés, enterrés ou enfouis dans leur maison ou leur jardin. Leur propriétaires sont mort brutalement laissant Louis d’or, Napoléons et lingots orphelins. Leur souvenir à perduré dans la famille, mais, faute d’expérience ou par manque de persévérance personne n’a jamais pu mettre la main dessus. Et puis, un jour, la maison est vendue et la mémoire se réveille. On fait alors appel à un chasseur de trésor.
Le gros avantage de ces magots, c’est qu’ils ne constituent pas des trésors au sens légal du terme. En effet, il y a encore quelqu’un qui peut justifier de leur propriété et donc plus besoin qu’ils soient découverts par hasard. Ces dépôts constituent en fait des héritages que les héritiers peuvent rechercher ou faire rechercher sans problèmes par un chasseur de trésor.

Un premier diagnostic

Concrètement, si vous pensez ou si vous savez avoir un trésor de famille dans votre propriété, prenez contact avec moi. Nous évaluerons ensemble la crédibilité de la légende familiale. Collectez tous les documents que vous pourrez obtenir sur l’ancêtre qui aurait éventuellement caché : photos, livrets militaires, papiers administratifs et lettres personnelles. Pourquoi ? Tout simplement parce que la recherche de trésor débute toujours par un profilage du l’enfouisseur présumé. Si vous ne le connaissez pas, il nous faudra le maximum d’informations sur la maison, son histoire, des photos, tout ce que vous pourrez fournir.

Après ce premier diagnostic, si l’affaire est réaliste, nous prendrons rendez-vous pour une première rencontre, ou nous conviendrons directement d’un rendez-vous pour la recherche proprement dite.
Comment se passe une recherche de trésors ?

Je me déplace généralement avec mon équipe de deux collaborateurs. A notre arrivée, nous signerons un contrat qui fixera les conditions de la recherche et notre rémunération en cas de découverte (généralement 30% de la valeur commerciale des objets découverts – en cas de découverte de trésor au sens de l’article 716, la loi attribue 50% au découvreur). Les recherches sont gratuites, nous conviendrons simplement, selon la distance, d’un remboursement des frais de route et des frais d’hébergement.

Nous mettrons en œuvre toutes les techniques nécessaires pour retrouver le bien de votre ancêtre. La recherche commence par un « tour du propriétaire » au cours duquel je détermine les lieux à fouiller, en fonction des informations que vous m’avez fournies sur l’enfouisseur présumé. Je distribue ensuite le travail à chacun de mes collaborateurs que je vais superviser. Bien sûr, durant la recherche, vous êtes présent pour vérifier les objets découverts. Nous pouvons avoir besoin de votre accord pour percer un trou, desceller une pierre… Nous possédons du matériel qui permet de réaliser des recherches très peu invasives.

En cas de découverte du trésor

En cas de découverte, nous procèderons à un inventaire précis des biens mis au jour et à une première estimation. Vous pourrez, si vous le désirez, vous faire assister par un expert indépendant, à condition que ce soit un expert officiel ou un notaire.

Si le partage est évident (monnaies, lingots…) nous y procèderont immédiatement. Dans le cas contraire (objets, œuvres d’art) nous ferons réaliser un inventaire précis par un notaire, puis nous verrons si les objets doivent être mis en vente dans une vente publique, ou si vous désirez nous racheter notre part.