EDGAR GROSPIRON, né 17 mars 1969 à Lélex, est un champion de ski acrobatique français, spécialisé dans l'épreuve des bosses. Il a été notamment le premier champion olympique de la discipline en 1992 à Albertville, champion du monde à trois reprises (1989, 1991 et 1995) et vainqueur à quatre reprises du classement général de la coupe du monde des bosses (1990, 1991, 1992 et 1994). Après sa carrière sportive, il reste dans le monde du ski acrobatique en étant consultant à chaque événement (notamment aux Jeux olympiques d'hiver). Il a démissionné le 12 décembre 2010 de son poste de directeur général du comité de candidature « Annecy 2018 » pour l'organisation des Jeux olympiques d'hiver 2018


Une CONFERENCE sur la motivation d’EDGAR GROSPIRON, c’est un moment privilégié que les auditeurs gardent longtemps en mémoire.

Dans le style qu’on lui connaît, EDGAR GROSPIRON s’appuie sur son parcours de champion sportif, raconte, témoigne, explique avec simplicité et humour comment sa motivation l’a porté au meilleur niveau mondial en ski de bosses.

EDGAR GROSPIRON parle de progrès, de vision, mais aussi de plaisir, de célébration des succès, de l’éthique qui, loin de contraindre les hommes, les rend plus forts et plus fiers d’exercer leur métier.

Ses propos s’adressent à tous les publics, tous les âges, tous les métiers de l’entreprise : la motivation est un levier universel, à utiliser dans sa vie professionnelle et pourquoi pas, dans sa vie personnelle : « il n’y a pas de gens exceptionnels. Il n’y a que des gens qui font des choses exceptionnelles, en devenant eux-mêmes ».

Le discours reste focalisé sur l’actualité et les priorités de l’auditoire devant lequel il s’exprime : EDGAR GROSPIRON n’est jamais formaté ou standardisé.

C’est la combinaison de toutes ses expériences, d’apports théoriques, d’anecdotes que je vous propose de découvrir en conférence : elle peut inspirer le dirigeant d’entreprise, le manager, le technicien de terrain, l’équipe qui connaît ses premiers succès et celle qui se cherche encore.


Les conférences d’EDGAR GROSPIRON ne laissent personne indifférent. Individus et équipes en ressortent dynamisés, « regonflés », souvent émus, avec la sensation d’avoir vécu une belle expérience. De manière plus profonde, d’autres bénéfices apparaissent :


BENEFICES

Pour les auditeurs :

    - une reconnaissance forte, car extérieure, des succès engrangés ou des obstacles rencontrés : les choses sont dites.
    - une forte prise de conscience des enjeux de leur entreprise et du rôle joué par chacun.
    - un sentiment d’appartenance renforcé à l’équipe, au service, à l’entreprise.
    - un regard neuf et éclairé sur les difficultés et les réussites (professionnelles ou personnelles) et sur la façon de les aborder.
    - une prise de recul sur le métier et la façon de l’exercer.
    - une énergie décuplée, une motivation forte et durable pour mener les projets du moment.
    - des axes d’action pour passer à la pratique sans attendre et parfois, des prises de décisions immédiates : beaucoup d’auditeurs prennent des notes…


Pour l’entreprise et ses managers :

    - les messages délivrés sont très forts car ils émanent d’un intervenant extérieur et sont délivrés sur un ton inhabituel (humour et décontraction, mais crédibilité du sportif de haut niveau) : ils sont d’autant mieux assimilés.
    - ces messages sont utilisables pour manager et piloter les équipes dans les mois qui suivent.
    - le propos dans son ensemble met en perspective la démarche de l’entreprise, lui donne du sens et renforce l’adhésion collective.
    - la conférence devient une référence, une source d’inspiration commune, à laquelle on peut faire allusion plusieurs années après.


Pérenniser vos performances

Le succès appelle le succès, mais il appelle aussi le confort, la reconnaissance des efforts accomplis et parfois, une attitude de repli et de protection des acquis : «maintenant, le plus dur est fait».

Voilà pourquoi il est judicieux de parler de motivation aux individus, aux équipes et aux organisations qui gagnent : c’est la meilleure façon de garantir des performances qui durent.

EDGAR GROSPIRON a lui-même vécu ce scénario après son premier titre de champion du monde, à 19 ans : son rêve de gosse étant réalisé, il était persuadé que la suite de sa carrière ne pourrait être que plus facile. C’est à cette période qu’il a été moins assidu à l’entraînement, moins investi dans le travail physique et technique, moins motivé par les «petites» courses. Il a dû recommencer à se poser les bonnes questions pour trouver en lui de nouvelles ressources et repartir de l’avant.

Des pistes d’action aisément applicables.

Son témoignage permet aux équipes de comprendre pourquoi il est difficile de se motiver pour rester les meilleurs, et leur suggère des pistes d’action aisément applicables : changer de regard sur la performance, remettre en cause ses acquis pour se fixer de nouvelles ambitions, remettre à plat ses stratégies tout en s’ancrant dans les «fondamentaux» de son métier…


Repartir en conquête

Les équipes qui n’atteignent plus leurs objectifs et vont de déceptions en échecs s’inscrivent peu à peu dans des « spirales infernales ». Mais il reste toujours chez elles une énergie et une envie de revanche qu’on peut réveiller…

Le moment propice pour organiser une conférence sur la motivation est alors celui de la prise de conscience. Quand les équipes réalisent qu’elles forcent toujours plus pour des résultats toujours moins gratifiants, quand elles perçoivent clairement la montée du stress et la disparition du plaisir de travailler, quand les enjeux individuels priment sur les enjeux collectifs, il est temps qu’elles s’ouvrent à la nécessité de rebondir et de remettre à plat leurs méthodes et leurs schémas de pensée.

Retour aux fondamentaux du métier.

EDGAR GROSPIRON, qui a lui-même connu cette traversée du désert après une blessure, insiste d’abord sur l’incontournable retour aux «fondamentaux» du métier : en période de stress et d’échec, ils sont souvent oubliés ou mal appliqués du fait de la pression.

Il insiste ensuite sur la nécessité d’impliquer les individus dans la définition des solutions : si elles viennent d’eux au lieu d’être imposées par la hiérarchie, ils y investiront plus d’énergie.

Il explique enfin comment gérer l’échec comme une opportunité, en s’appuyant à la fois sur l’instinct de survie des équipes et sur leur envie de revanche pour stimuler leur capacité à se remettre en question.

La conférence aide ainsi l’auditoire à stopper ce processus d’échec, à trouver de nouvelles ressources et à concevoir un projet fédérateur.


Préparer et conduire le changement

Les cessions, fusions, rapprochements, réorganisations bousculent les individus et suscitent des réflexes de résistance et de repli sur l’existant. Une énergie qu’il importe de canaliser rapidement vers la recherche de solutions nouvelles.

Un dirigeant qui conçoit une stratégie de changement voit loin, pense à long terme et raisonne de manière globale. Les individus impactés par ce changement réagissent pour leur part de manière très personnelle : pourquoi me remet-on en cause alors que je marchais bien ? que va devenir mon poste ? qui sera mon nouveau manager ? vais-je devoir déménager ? serai-je à la hauteur de ces nouveaux défis ?


Rassurer, remotiver, inciter à l’action.

Au-delà des nécessaires éclairages stratégiques, les équipes ont donc besoin d’être accompagnées dans ces moments charnières. L’énergie qui se canalise au départ sur le problème, avec pour effet l’aggravation des résistances, doit être investie rapidement sur les solutions afin de réussir et d’accélérer le changement.

La conférence d’EDGAR GROSPIRON propose un cheminement individuel et collectif à la hauteur de ces enjeux : éclairer la difficulté et l’intérêt des remises en question, rappeler la nécessité de désinstaller périodiquement les habitudes devenues obsolètes, montrer les «voies d’innovation» ouvertes par le changement, proposer aux équipes de s’approprier ces opportunités…

La conférence a pour objectifs de rassurer, de remotiver, d’inciter à l’action et à l’ouverture plutôt qu’à la résistance. L’idéal est de la faire coïncider avec la première annonce du projet de changement.