Après 17 années à développer concepts, produits et marques PHILIPPE CAHEN développe une nouvelle méthode de prospective originale, rapide, souple et économique, fondée sur les signaux faibles et les scénarios dynamiques. Il intervient régulièrement depuis 1995 auprès d’entreprises et d’organisations sous forme de conférences, ateliers ou formation pour imaginer leurs futurs.

Spécificité
On demande à PHILIPPE CAHEN d’ouvrir les esprits, de casser les codes, de rafraichir les esprits pour être le premier et pas la copie. Par les signaux faibles, il démontre à son auditoire comment l’observation de son environnement ou la lecture de la presse contiennent des idées surprenantes de futurs. Par la méthode des scénarios dynamiques, il ouvre chacun à des hypothèses de futurs que chacun croyait impossible et donne comme une évidence que « le principal risque est de ne pas prendre de risque ». Avec ses expériences précédentes, Philippe est apprécié pour le réalisme de ses interventions et les réponses pratiques qu’elles offrent. Il laisse aux spécialistes les choix stratégiques. Ses conférences se tiennent soit en introduction, soit en conclusion de colloques ou séminaires.



Interventions
PHILIPPE CAHEN intervient dans sur des sujets de prospective et les signaux faibles qui concernent aussi bien le marché concerné, les équipes de l’entreprise ou ses clients
Il adapte son intervention aux publics grâce à une connaissance approfondie de chaque marché. Que ce soit : de la finance (banque, assurance) à l’agroalimentaire en passant par la distribution, le bâtiment, les transports, l’industrie, la santé ; avec des entreprises de taille très variées, membres du CAC40 ou plus généralement blue chips, ou petites entreprises et PME ; avec des ministères, chambres de commerce, organisations professionnelles ; devant des universitaires, des étudiants, des dirigeants, des cadres, des journalistes.



Membre  …
- du Pôle de compétitivité banque, finance, assurance ; expert en prospective auprès des clubs de RH&M ; formateur en prospective pour Les Echos Formation ; membre du Comité du bien vieillir (Korian) ; membre du conseil scientifique de Cifor (formation hôtellerie-restauration), etc.
- de l’association française des conférenciers professionnels, membre de la société française de prospective (jusque mars 2015), membre de l’académie des sciences commerciales.

Ecriture
- rédacteur de la Lettre des Signaux Faibles publiée chaque mois depuis 2003 adressée par Internet à plus de 10.000 abonnés.
-  chroniqueur à La Tribune (hebdomadaire économique) depuis 2013.
- auteur de plusieurs ouvrages qui font référence : “Signaux faibles. Mode d’emploi” (2010, éditions Eyrolles), prix de l’Académie de l’Intelligence Economique 2011, “Le marketing de l’incertain” (2011, éditions Kawa), « 50 réponses aux questions que vous n’osez même pas poser ! » (2012, éditions Kawa) et « Les secrets de la prospective par les signaux faibles » (2013, éditions Kawa).
- a participé à de nombreux ouvrages comme « L’ISO 26000 en pratique » (2012, éd. Dunod), « DRH, le choc des ruptures » (2014, éd. Manitoba/Les Belles Lettres, « Rupture, vous avez disrupture ? » (2015, éd. Kawa).


Prestations
La prospective telle que Philippe la pratique se fonde sur un saut dans le futur au détriment de la prolongation du présent (la tendance). Le présent ne se prolonge jamais. Le poids du présent conforte la frilosité. Comme résultat, je regarde le présent à partir du futur. Les participants du travail de prospective sont ainsi soulagés des contingences et poids du présent. Cela libère leur audace. D’autant que le futur n’est jamais ce que l’on espère. Le principal risque est de ne pas prendre de risque.

Cette méthode de prospective prépare à agir, non à subir. Elle est rapide et pratique.
Les profils des participants des groupes de prospective particulièrement constructifs se caractérisent non par leurs positions hiérarchiques ou leurs compétences – il y a des participants de tous niveaux hiérarchiques et de toutes compétences - mais par leur acceptation de la « remise en cause » soit a priori, soit en cours de travail.

D’une manière générale, ses prestations se caractérisent par :
- un langage clair, direct
- des visuels évidents : des captures d’écran d’articles de presse, des textes synthétiques
- des propositions d’interprétations, de prises de positions

Les participants sont assurés de partir avec une méthode, avec des réponses et des idées.


CONFERENCES
Philippe pratique de nombreuses conférences d’une durée allant de 15 mn à 1h00. Chaque conférence est originale, construite d’une part en raison de l’objectif à atteindre et du public, d’autre part en fonction de l’actualité. Elles sont pratiquées avec ou sans support visuel.

Il pratique les conférences avec des publics très variés : banque, finance, services, agro-alimentaire, transports, industries, santé, associations ou clubs d’entreprises, etc.
Les sujets sont variés : lire le futur dans le présent, pourquoi notre marché n’ira pas dans la direction que l’on imagine, « le cygne, la poule et le mammouth », la génération Alpha est déjà là, les nouvelles entreprises, penser différemment, etc.


Journée(s) de prospective
Cette prestation a pour but de construire des scénarios prospectifs pour le domaine concerné.
Elle est généralement organisée en deux temps :
- le premier temps - les signaux faibles – sensibilise au recul nécessaire et se concrétise par des exercices,
le second temps – les scénarios dynamiques – est centré sur la prospective avec d’abord un exercice sur un domaine d’abord en dehors du domaine concerné (la voiture, l’hypermarché, la ville, …), puis le domaine concerné est traité avec des injections d’idées.
Son déroulé se réalise sur un temps préférentiel de deux journées, minimum d’une journée.
De telle(s) journée(s) ont été réalisées dans l’industrie, la construction immobilière, les centres commerciaux, les relations humaines (les métiers de la santé, la diversité), la banque (le futur des réseaux), l’assurance (la futur de la distribuions), les transports, etc.


So What ?
Cette prestation a pour but de sensibiliser le groupe à ce qui se passe en dehors de l’activité principale de l’entreprise ou du service concerné. Le futur se cache hors de vue. Il s’agit d’imaginer en quoi l’entreprise est concernée par ce qui a priori ne la concerne pas : so what ?
A partir de faits ou informations des semaines passées, le groupe réagit en construisant ce que cela peut avoir comme impact pour son activité.
Cette prestation a une durée de 1h30 à 3h30, et a lieu chaque deux ou trois mois.
De telles prestations ont été réalisées dans la banque, l’assurance, la construction, l’industrie textile, etc.

Eveil
Les entreprises ont parfois besoin d’un regard différent sur leur sujet. Certaines pratiques la veille. Philippe CAHEN pratique l’éveil. En somme, un So What pour lequel les entreprises n’ont pas le temps d’organiser les réunions.
Il s’agit de savoir ce que l’on fait de l’information recueillie. C’est cette synthèse qui est la richesse du travail.
Rapport remis chaque trimestre.

“Ouvrir les chakras”
Dans des temps comme aujourd’hui, les délais sont courts, les budgets serrés. En peu de temps, il faut répondre aux attentes des clients, des dirigeants, des équipes.
Philippe dispose d’une masse impressionnante d’informations.
Cet atelier est pour une douzaine de personnes, 2 heures débat compris. Vous indiquez le sujet. Il ne le prends que si il pense avoir suffisamment d’informations sur ses bases. Sa présentation en PPT est fondée sur un décalage de regard du sujet. Ce sera une manière différente de l’observer et pour vous de réagir. Il s’engage à ouvrir les chakras du groupe.
De telles journées ont été pratiquées avec des agences, des consultants, des directions, etc.